« Le testament d’Alexandrie », de Frédéric Lauze
Commissaire de police, directeur départemental de la sécurité publique du Val d’Oise (95), Frédéric Lauze publie son quatrième roman, « Le testament d’Alexandrie », plongeant son lecteur dans l’Égypte des années 50.
Après « Téchouva », c’est à nouveau à un roman loin de l’univers du polar que nous convie l’auteur. Dans « Le testament d’Alexandrie », il aborde, sous couvert d’une passion amoureuse, le conflit israélo-arabe au travers des regards de deux Égyptiens : David de confession juive et Aïcha de confession musulmane.
S’inspirant de ses propres voyages au Moyen-Orient et des rencontres qu’il y a faites il y a plus de trente ans, Frédéric Lauze a fait mûrir son histoire durant plusieurs années pour construire un roman de fiction nous plongeant dans l’Égypte des années 50 et décrivant une Alexandrie, qu’il qualifie lui-même de « cosmopolite et fascinante ».
L’écrivain résume ainsi son roman :
Le temps est venu de révéler cette extraordinaire histoire.
Ce secret a traversé 60 ans de conflits israélo-arabe. Il a à la fois résisté à l’usure du temps et des sentiments mais surtout aux préjugés et aux communautarismes qui broient les individus libres tentant de s’affranchir des carcans confessionnels.
L’histoire d’amour d’une musulmane égyptienne et d’un juif égyptien devenu israélien est porteuse de puissants messages afin de bâtir demain, non pas la paix artificielle entre les États, mais la paix entre les peuples.
Le testament d’Alexandrie
De Frédéric Lauze
Éditions Fauves
264 pages